«La répression seule ne suffirait pas pour endiguer le phénomène des violences faites aux femmes et aux filles. Il faudrait penser à ériger la prévention en stratégie». C’est du moins la conviction d’Aminata Touré, présidente du Conseil économique social et environnement (Cese). L’ancienne Première ministre s’exprimait, ce matin, en marge de la première session extraordinaire du Cese.